mes confilldences

Philip restaurant & bar à Lille

Moi j'adore !

Voilà une bonne chose de dite.

D'abord le lieu. Parce qu'il est à la fois cosy et branché. Une partie bar, une partie resto, l'ambiance est tamisée.
Les tables voisines semblent absentes.

Le service aussi. Cela grouille de serveurs (que des hommes d'ailleurs). Ils sont tous sympas, prêts à donner un bon conseil, à exhaucer vos moindres désirs.
Cela fait un bien fou !

Enfin l'assiette. Des plats originaux sans l'être trop. Juste le bon équilibre. La simplicité du pain servi dans un sachet en papier, quelques frites croustillantes dans un cornet. Mais aussi la recherche de la saveur parfaite pour la sauce qui accompagne le poisson frais ou la viande rouge.

C'est juste, c'est mélodieux, c'est harmonieux. C'est tout ce que j'aime !

A vous d'en goûter... ?
Rendez-vous 19, rue de Gand
59000 Vieux Lille
www.philip-restaurant.com

Des clous !!!

Les clous sont partout !
Cet hiver, on les porte sur nos accessoires : sacs, chaussures, ceintures, bonnets, gants...
mais on les trouve aussi sur des pièces plus importantes comme nos T-shirts
ou nos vestes.

Après, tout est une question de dosage.
Il y a celles qui en sont complètement marteau et qui jouent le clou de bout en bout.
En général, ce sont des femmes de caractère à l'allure rock affirmée.
Et puis il y a les modeuses. Celles qui adoptent le clou parce que c'est tendance,
parce qu'elles sont fashion envers et contre tout et qu'elles ont donc une nouvelle folle pashion pour ce petit détail métal.
Ces dernières préféreront le jouer en touches. Disséminés par ci par là
et le clou du spectacle est assuré.

Conclusion cet hiver, (je sais j'enfonce le clou...) passage clouté obligatoire !!

A la recherche d'une mode complètement cloutée : Zadig & Voltaire, Mango,
H&M, Jimmy Choo, Brand Alley... et tant d'autres !

L'atelier à La Madeleine

Un ancien atelier mécanique transformé en restaurant.
Une ambiance loft évidemment.
N'y cherchez pas un peu d'intimité... Ce n'est forcément pas l'endroit rêvé !

Mais du côté de l'originalité, nous n'avons pas été déçus.
Le lieu est habité.
L'art y est partout présent, la modernité passe par le mobilier et les images d'aquarium projetées au mur.

Nous nous sommes régalés.
La carte est variée.
Elle convient à mon avis aux amateurs de goûts classiques (ceux qui par exemple n'envisagent le foie gras que accompagné d'une confiture de figues ou d'oignons) comme aux plus téméraires (ceux qui OSENT l'accommoder d'un coulis de mangues !).

Et puis notre hôte s'est montré attentif sans devenir encombrant.
Un petit mot pour chacun, une plaisanterie par ci par là... De quoi réchauffer définitivement l'atmosphère de l'endroit.

La note est un peu élevée...
Mais pouvions-nous attendre moins de ce "haut" lieu de la gastronomie !
Et maintenant il ne me reste plus qu'à vous souhaiter un bon appétit.
http://www.latelier-restaurant.fr/

Fashion Instinct

Quand la fourrure fait fureur, elle révèle souvent la petite bête de mode qui sommeille en nous !
Tous poils dehors, nous sommes désormais prêtes à affronter les plus gros frimas.

Elle se place juste à l'encolure pour les femmes les plus glamour.
Les fashionistas, par contre, craqueront sur le sac ou la pochette qui chatouillera leurs envies de mode jusqu'à ce qu'elles osent afficher le côté sauvage de la force.
Les plus timides opteront pour le détail qui fait toute la différence comme ces chaussures Brian Atwood vendues chez Colette.
Quant aux plus téméraires, elles arboreront fièrement la chapka... De quoi faire tourner bien des têtes sur leur passage !

Le gilet reste néanmoins l'incontournable de cette tendance chaudement recommandée.
Tendance folk, le gilet sans manches en (fausse ! cela va sans dire) fourrure se porte sur une chemise à carreaux ou une tenue bohème (tunique et longue jupe évasée par exemple).
Tendance rock, il s'exhibe sur un t-shirt et sous une mini jupe cuir, bottes à talons vertigineux... Effet "Axe" immédiat.

Bref... si la fourrure vous a toujours fait horreur, il est temps de réveiller vos instincts de mode et de reprendre pleinement... du poil de la bête !

My Movie Star !

Je suis une fan de Bridget Jones.
Une sorte d'inconditionnelle.
Il y a 4 ans, j'ai déménagé... Et depuis tout ce temps, le DVD dormait dans un carton bien caché au fond du grenier.
Et puis voilà qu'il y a quelques semaines, ce personnage si familier m'est réapparu en rêve (!) Probablement dû au moral en berne, à un manque de magnésium ou encore à une overdose de chocolat.
Presque affamée, je cherche ce p... de DVD partout. Et je finis par le dénicher.

Sans rire ? Quel soulagement ! Savoir que j'allais pouvoir déguster quelques instants sucrés de pur bonheur et de légèreté. Miam miam.
J'en avais l'eau à la bouche.
Mais pourquoi Bridget me fait-elle tant de bien ?
Je suppose qu'elle me réconcilie avec tous mes défauts, toutes mes humiliations, tous mes chagrins, toutes mes vexations, toutes mes failles, toutes mes erreurs, toutes mes angoisses, et toutes mes fragilités de femme enfant.

Côté actu, il paraît que le troisième volet est en marche.
Mais que l'actrice a refusé de prendre du poids pour incarner le rôle !!!
Je crie vengeance, aberration, calomnie.
Comment vais-je faire, moi, pour supporter mes rondeurs qui bloblottent ??
Bridget (ou Renée si tu préfères...) ne m'abandonne pas.

Reste encore un peu si bêtement humaine.

Le carreau à coeur

Bon... Les carreaux c'est pas vraiment nouveau !
Les chemises bûcheron et l'esprit anglais faisaient déjà recette l'hiver dernier.

Mais visiblement le carreau prend carrément l'esprit de clan cet hiver.
Presque plus Scottish que British !
Certains osent même le total look tartan... Au risque de donner l'impression qu'il ne manque qu'un seul accessoire... La cornemuse.

Bref... Profusion de carreaux en tout genre.
Du plus petit au plus grand.
Du couvre-chef au plus petits détails d'une bandoulière de sac ou d'une bride de chaussure.



Les marques qui ont adopté
cet angle d'attaque ?
Mmmh H&M, Topshop, APC...
L'éternel Burberry, Mexx, etc. etc.

Cet hiver, misez sur le carreau,
il se plie en 4 pour être à coup sûr
votre atout coeur !

Opale de Stéphane Lefebvre

ERSATZ
Robin Mésange, journaliste à l'Eclair Boulonnais et photographe amateur, croit surprendre un meurtre sur sa pellicule.
Sans réfléchir, il se lance alors dans une sombre enquête.
Plein d'humour et d'humanité, Robin réussit à faire rire et à attendrir, alors même qu'il découvre petit à petit une affaire terrifiante, à la fois noire et glauque.

POINT DE VUE
Les anti-héros c'est tout ce que j'aime.
Vous avez déjà lu un Mary Higgins Clark ? Ses personnages sont toujours beaux, riches et intelligents.
Lisse et déprimant !
Ici le héros est faillible, maladroit, bête parfois, innocent, lubrique... Et j'en passe.
Qu'il est amusant de se laisser surprendre par ses nombreuses petites imperfections et de sourire lorsqu'il fait preuve d'approximation...
Vraiment oui, vive ces nouveaux polar qui savent si bien nous faire trembler... de rire !!

Lâchez les fauves !

On connaît toutes dans notre entourage des femmes panthères ou des maniaques de l'imprimé léopard.
Jusqu'ici on plaignait les victimes de ce fléau, on souriait face à ces excentriques bêtes de mode.
Mais tout doucement la jungle s'est urbanisée, la city a révélé son côté animal.

Dolce Gabbana, Zara, H&M, Mango, La Redoute, Escada... Toutes les marques en raffolent et quelle que soit notre bourse, on nous affole à coup de froufrous sauvages.
Python, panthère, léopard, zèbre ou encore crocodile... De la femme mûre et élégante au bébé fashion en passant par la lolita, on les a bientôt toutes eus dans (ou plutôt sur) la peau.

Blouses, sacs, chaussures, robes, leggings  ou jupes... Plus c'est bestial, plus ça nous rend sauvage et - d'instinct - on y est définitivement A-crocs !!

La ferme du moulin à Villeneuve D'Ascq

Du charme, de l'authenticité et de la gentillesse...
Que demander de plus ?

La carte est vaste et propose de quoi contenter tous les palais.
Le cadre est simple et reposant.
Vert si vous avez la chance de manger à l'extérieur...
Chaleureux si le thermomètre capricieux a décidé de se vider de son mercure.

Nos hôtes ont été à l'image du lieu.
Un doux mélange de convivialité, de sérénité et de nature prévenante sans jamais être omniprésente.

Pratique, c'est à deux pas du Parc du Héron.
Et après un tel gueuleton, quoi de meilleur qu'une petite promenade digestive ?

Des vents contraires de Olivier Adam

ERSATZ
Sarah a disparu du jour au lendemain en laissant derrière elle mari et enfants.
Seuls au monde, un père, son fils et sa fille essaient de poursuivre une vie ni tout à fait la même, ni tout à fait une autre... En gérant au quotidien le manque, l'absence, les interrogations et le jugement des autres.

POINT DE VUE
Des phrases longues. Peu de rythme. Comme le long monologue d'une pensée perdue dans un puits sans fond, dans un labyrinthe sans issue.
Une tristesse latente, constante, liée aux silences et aux non-dits.
Une fin "happy end" ou "sad end" selon le point de vue que l'on adopte.